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samedi 29 août 2020

Chadwick Boseman, acteur principal du film Black Panther, est décédé à 43 ans

Chadwick Boseman, acteur principal du film Black Panther, est décédé à 43 ans
 
 
Chadwick Boseman. | © Lionel Hahn / ABACAPRESS.COM

L’acteur n’avait pas rendu publique sa maladie, diagnostiquée en 2016, et avait continué à tourner.
L’Américain Chadwick Boseman, acteur principal du film de super-héros Black Panther qui avait connu un énorme succès planétaire en 2018, est décédé d’un cancer du côlon, a annoncé vendredi sa famille. « Incarner King T’Challa dans Black Panther avait été le grand honneur de sa carrière », dit un communiqué publié sur les comptes de Boseman sur les réseaux sociaux. « Il est mort chez lui, entouré de sa femme et de sa famille », ajoute le texte.

It is with immeasurable grief that we confirm the passing of Chadwick Boseman.⁣⁣Chadwick was diagnosed with stage III…

Publiée par Chadwick Boseman sur Vendredi 28 août 2020

Chadwick Boseman, 43 ans, avait incarné le premier super-héros noir doté d’un film Marvel pour lui seul. Réalisé par Ryan Coogler, Black Panther avait rassemblé, outre Boseman, un casting d’acteurs noirs parmi les plus prisés de Hollywood (l’oscarisée Lupita Nyong’o, Angela Bassett, Forest Whitaker, Daniel Kaluuya) et bénéficié d’un budget de production et de promotion faramineux.

Lire aussi > Quand la star de Black Panther surprend ses fans, c’est particulièrement mignon

Adaptation des aventures du premier super-héros noir créé par le studio Marvel Comics en 1966, le film raconte le combat mené par le roi T’Challa pour défendre sa nation de Wakanda, la plus avancée de l’univers Marvel. Nominé pour l’Oscar du meilleur film – une première pour une adaptation de bande dessinée – et encensé par la critique, Black Panther avait généré plus d’un milliard de dollars de recettes au box-office.

« C’était un vrai combattant »
Avant ce rôle, le plus important de sa carrière, Chadwick Boseman avait incarné la légende du baseball Jackie Robinson dans 42 de Brian Helgeland et le chanteur James Brown dans Get on Up de Tate Taylor. Plus récemment, il était apparu dans Da 5 Bloods de Spike Lee. Il devait en outre reprendre le rôle de T’Challa dans un deuxième opus de Black Panther prévu pour 2022.

Lire aussi > Black Panther signe-t-il vraiment la fin du cinéma « plus blanc que blanc » ?

L’acteur n’avait pas rendu publique sa maladie, diagnostiquée en 2016, et avait continué à tourner. « C’était un vrai combattant », lui a rendu hommage sa famille dans son communiqué, expliquant qu’il avait continué à travailler tout en subissant « d’innombrables opérations chirurgicales et chimiothérapies ».

Le candidat démocrate à l’élection présidentielle américaine Joe Biden a aussitôt salué la mémoire de l’acteur. « Le vrai pouvoir de @chadwickboseman était supérieur à tout ce que nous avons vu à l’écran », a-t-il tweeté. « De Black Panther à Jackie Robinson, il a inspiré plusieurs générations et leur a montré qu’on pouvait être tout ce que l’on désire – même des super-héros », a tweeté le démocrate.

Avec Belga

vendredi 28 août 2020

Côte d’Ivoire. Les violences et la répression des voix dissidentes augmentent à l’approche de l’élection présidentielle





Les autorités ivoiriennes doivent immédiatement prendre des mesures destinées à prévenir les violences y compris celles entre adversaires politiques appartenant à des communautés différentes, et à protéger la population et son droit de manifester pacifiquement, a déclaré Amnesty International vendredi 28 août 2020.

Dans les villes de Divo et Bonoua au sud et sud-est du pays, la marche, vendredi 21 août, des femmes opposées à la candidature à un troisième mandat du président Alassane Ouattara, a été brutalement dispersée par des jeunes. Les violences qui ont suivi ont occasionné plusieurs blessés et des pillages et incendies de magasins. Amnesty International a interrogé plusieurs témoins oculaires et recueilli des informations qui confirment que les femmes manifestaient les « mains nues » au moment où elles ont été attaquées par des groupes de jeunes armés de machettes et de gourdins.

A Divo, des violences entre adversaires politiques appartenant à des communautés différentes ont éclaté. Dans un pays qui, il y a moins de dix ans, connaissait de graves violations des droits humains dans un contexte électoral avec plus de 3 000 morts, il est important de réagir immédiatement pour apaiser la situation. 
Samira Daoud, directrice pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale à Amnesty International.
« Nous avons vu des manifestations de femmes dispersées et empêchées par des jeunes. A Divo, des violences entre adversaires politiques appartenant à des communautés différentes ont éclaté. Dans un pays qui, il y a moins de dix ans, connaissait de graves violations des droits humains dans un contexte électoral avec plus de 3 000 morts, il est important de réagir immédiatement pour apaiser la situation, » a déclaré Samira Daoud, directrice pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale à Amnesty International.

« Les autorités doivent protéger la population et mettre fin aux violences. L’impunité risque d’être un vecteur clé de nouvelles violences si toutes les personnes soupçonnées d’en être responsables à Divo et ailleurs, ne sont pas traduites en justice dans le cadre de procès équitables. »

Commerces et magasins pillés ou incendiés
A Bonoua, la manifestation des femmes a aussi été brutalement dispersée par des jeunes qui en ont blessé une à la tête, incendié des bars et attaqué des maisons. D’après des témoins, les violences ont été le fait d’affrontements entre membres de communautés d’appartenance politique différente, certains armés de morceaux de bois, de gourdins et de machettes.

A Divo, plusieurs commerces et magasins sur les voies principales des quartiers Konankro, Bada et Legbreville n’ont pas été épargnés par les pillages et incendies notamment la deuxième plus grande boulangerie de la ville. Selon un habitant interrogé par Amnesty International, le plus grand bar de la ville, aussi appelé ‘maquis Péage’ situé dans le quartier Konankro a été incendié le vendredi soir.

Une femme dont le magasin se trouvant sur la voie principale de Konankro a été pillé a raconté à Amnesty International :

« … Les jeunes agresseurs étaient armés de gourdins et de machettes. Ils ont commencé à attaquer les femmes qui marchaient les mains nues pour les disperser… Ils s’exprimaient en langue nationale Dioula en disant, après avoir aussi pillé, incendié et volé les produits de nos magasins et maquis, ‘venez on va partir’. Il y a eu des affrontements entre eux et les autres jeunes qui étaient venus spontanément pour protéger nos magasins. »

Interdiction des manifestations et arrestations arbitraires
Ces violences à Divo et Bonoua se sont déroulées dans un contexte de vive tension politique dans le pays à deux mois de l’élection présidentielle. Ce contexte est aussi caractérisé par des menaces verbales entre partisans de l’opposition et du pouvoir notées sur les réseaux sociaux, une série d’arrestations arbitraires et l’interdiction jusqu’au 15 septembre des manifestations sur la voie publique.

L’interdiction des manifestations annoncée le 19 août par le Conseil des ministres est contraire au droit de réunion pacifique garanti par les normes internationales relatives aux droits humains. Elle semble être politiquement motivée afin d’empêcher les opposants à la candidature du président Alassane Ouattara à un troisième mandat d’exercer leur droit à la liberté d’expression.

Le 15 août, Pulchérie Edith Gbalet, coordinatrice de l’ONG Alternatives Citoyennes (ACI), qui avait appelé à manifester contre le projet de candidature à un troisième mandat, ses deux collaborateurs Djehi Bi Cyrille et Gbaou Gedeon Junior qui lui rendaient une visite privée ont été interpellés par des hommes armés dans un hôtel où elle séjournait. Ils ont été placés sous mandat de dépôt à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA) le 19 août. Ils sont poursuivis pour les faits d’atteinte à l’ordre public, participation à un mouvement insurrectionnel, atteinte à l’autorité de l’Etat, destruction volontaire de biens publics et provocation à un attroupement.

Yao Kouamé, ancien président de la jeunesse du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, opposition) à Bassam a été appréhendé le 16 août à son domicile par des hommes encagoulés. Il a été mis sous mandat de dépôt cette semaine et écroué à la MACA pour atteinte à la sûreté de l'Etat et trouble à l’ordre public. Selon son conseil, les autorités n’ont pas respecté la procédure. Yao Kouamé a été interrogé en absence d’un avocat, son téléphone fouillé sous la contrainte, et les délais de garde à vue non respectés.

L'interdiction des manifestations sur la voie publique décidée par les autorités est une attaque de plus contre les voix dissidentes. La liberté de manifester pacifiquement est un droit. 
Samira Daoud
« En arrêtant de façon arbitraire des voix dissidentes, les autorités restreignent abusivement la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique. Toutes les personnes arbitrairement détenues doivent être immédiatement libérées, » a déclaré Samira Daoud.

 « L'interdiction des manifestations sur la voie publique décidée par les autorités est une attaque de plus contre les voix dissidentes. La liberté de manifester pacifiquement est un droit. »


Complément d’information
Le 22 août dernier, le président Alassane Ouattara a été officiellement investi candidat de son parti à l’élection présidentielle du 31 octobre prochain. La justice ivoirienne a décidé, le 25 août, la radiation définitive des listes électorales de l’ancien président Laurent Gbagbo du FPI (opposition) dont la candidature a été évoquée par son camp. Guillaume Soro, ancien Premier ministre et président de l’Assemblée nationale, et candidat déclaré à l’élection présidentielle a été condamné in absentia le 28 avril à 20 ans de prison pour recel de détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux par le tribunal correctionnel d’Abidjan.

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© 2020 AMNESTY INTERNATIONAL

mardi 25 août 2020

Menaces contre Denis Mukwege, preuve que la stabilité du Congo dérange



Merveille Gozo trouve que les menaces contre le docteur Denis Mukwege, prix Nobel 2018, est une preuve que la stabilité et l’unité du Congo dérange. Elle le fait savoir dans un document intitulé « Denis Mukwege, une valeur congolaise incarnée ».



Pour l’avocate, le combat du docteur Mukwege pour la dignité humaine, la paix en RDC et pour une administration de justice impartiale, fait de lui une cible principale de tous ceux qui veulent voir le pays en crise.

Elle rappelle que depuis la condamnation de massacre de Kipupu, qui a causé la mort de plus de 200 personnes, selon un rapport de la société civile, Denis Mukwege subit des menaces de mort. « Il sied de rappeler que son adresse était impersonnel… », fait-elle savoir.

Merveille Gozo cite James Kaberebe, un haut gradé rwandais, qui dans une interview, dépouille le prix Nobel de sa notoriété en l’associant aux génocidaires et négationnistes.

« Il faut noter que James Kaberebe, héros de la jeunesse rwandaise après ses expéditions en RDC, est un exemple de réussite et de bravoure pour la jeunesse rwandaise. Lorsqu’il use de sa notoriété pour mobiliser toute la jeunesse le jour de la commémoration du génocide au Rwanda, il y a de quoi s’inquiéter. », Note-elle.

Une autre campagne anti-Mukwege vient du journal KT Express. Dans un article, le journaliste parle de l’agenda politique du docteur qui selon l’auteur serait profondément enraciné dans la division ethnique.

« Cette façon d’identifier une référence nationale et du surcroît un prix Nobel et intellectuel congolais choque », s’indigne l’avocate.

Elle fait observer que le combat du docteur est un combat de tout congolais épris de justice et de paix. Elle appelle ainsi au soutien de tous au prix Nobel de la paix 2018 en exigeant sa protection physique.

« Soyons tous Mukwege », lance-t-elle.

Thomas Uzima

Source: La PrunelleRDC

lundi 24 août 2020

AVIS D'APPEL D'OFFRE NATIONAL 003/FDNT-TR-PROJET/08/20

un appel d'offre national signé par la fondation Denise Nyakeru Tshisekedi pour la construction et réhabilitation du centre féminin Marie-Antoine à Kinshasa





Rappelons que cette offre était rendue publique depuis le 21
08.2020 et publiée dans leur compte twitter officiel .

Source: Compte twitter FDNT

Redressement fiscal de 106 millions d’euros pour Facebook France


tirée de Monde et de l'AFP
PDG de Facebook, Mark Zuckerberg

Un accord fiscal a été conclu entre le groupe et le gouvernement français, pour les exercices allant de 2009 à 2018

Nouvelle étape dans la taxation des géants du numérique, à qui il est souvent reproché de se livrer à de l’optimisation fiscale. Facebook a annoncé, lundi 24 août, avoir conclu un accord fiscal avec le gouvernement français sur un redressement de 106 millions d’euros d’impôt sur les sociétés pour sa filiale Facebook France sur la période 2009-2018.

Pour l’année 2019, Facebook France a payé 8,46 millions d’euros d’impôt sur les sociétés, soit une hausse « de près de 50 % par rapport à l’année dernière », a précisé dans une déclaration le géant américain, confirmant des informations du site Capital.fr

Source: le Monde avec AFP

ELECTIONS AMÉRICAINES 2020



Présidentielle américaine : la famille Trump en force à la convention républicaine
En retard dans les sondages face à Joe Biden, Donald Trump aborde la convention du Parti républicain qui s’ouvre lundi à Charlotte, en Caroline du Nord, avec l’obligation de se relancer et de rassembler au-delà de sa base.

A la faveur de la convention démocrate (17-20 août), qui a intronisé Joe Biden comme le candidat de son parti pour la présidentielle du 3 novembre, Le Monde a relancé son carnet de bord de la campagne. Un point quotidien, avec les faits de campagne, les publicités politiques, les sondages, les cartes et les chiffres qui permettent de suivre et de vivre la plus importante compétition électorale au monde.

Le fait du jour
Le président américain, Donald Trump, en compagnie sa femme Melania et de leur fils Barron le 16 août à Morristown, New Jersey.
Le président américain, Donald Trump, en compagnie sa femme Melania et de leur fils Barron le 16 août à Morristown, New Jersey. JIM WATSON / AFP
La famille Trump va être omniprésente lors de la convention d’investiture républicaine qui s’ouvre le lundi 24 août. Initialement prévu à Charlotte, en Caroline du Nord et à Jacksonville, en Floride, cet événement sera en bonne partie virtuel, comme la convention démocrate de Milwaukee (Wisconsin) organisée la semaine précédente.

Le président sortant a prévu de prendre la parole tous les soirs, contrairement à l’usage qui veut que le candidat choisi par le parti s’exprime essentiellement à la fin de la convention. Comme le veut la coutume, la First Lady, Melania, défendra également son époux, mardi. Elle s’exprimera dans la roseraie de la Maison Blanche qu’elle a fait redessiner à cette occasion.

Les quatre premiers enfants du président ont prévu aussi de s’exprimer. Donald Jr., le fils aîné du président, parlera lundi, tout comme sa compagne, Kimberly Ann Guilfoyle, ancienne procureure en Californie passée par la chaîne conservatrice Fox News. Outre Melania, Eric Trump et sa sœur Tiffany sont inscrits au programme de mardi. L’épouse d’Eric, Lara, qui travaille pour la campagne de réélection, comme Kimberly Ann Guilfoyle, figure parmi les orateurs de mercredi. La fille aînée du président, Ivanka, par ailleurs conseillère à la Maison Blanche comme son mari Jared Kushner, parlera le dernier jour, mardi.

Les deux fils aînés du président soutiennent activement leur père, quitte à provoquer la controverse. Donald Jr. a ainsi publié en mai sur les réseaux sociaux un message accusant le candidat démocrate à la présidentielle, Joe Biden, de pédophilie. En juin, Eric Trump a publié sur son compte Twitter un message invitant les fidèles de son père à participer à un meeting à Tusla, dans l’Oklahoma, accompagné de la lettre Q, dans une référence à la mouvance complotiste QAnon selon laquelle le Parti démocrate abrite un réseau de trafic d’êtres humains et de pédophiles. L’acronyme WWGOWGA qui sert de mot d’ordre à la mouvance (« Where We Go One, We Go All ») figurait également sur le message.

En juillet, Donald Trump Jr. s’en était pris vivement à la numéro 3 républicaine à la Chambre des représentants, Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président de George W. Bush. « Nous avons déjà eu un [Mitt] Romney, nous n’avons pas besoin d’un second », avait-il écrit dans une allusion au candidat malheureux à la présidentielle de 2012. « De même, nous n’avons pas besoin de guerres sans fin », avait-il ajouté, alors que Liz Cheney appartient au courant « faucon » du Parti républicain.

Source: Le Monde

dimanche 23 août 2020

Ordination presbytérale et diaconale par Mgr Marcel UTEMBI ce dimanche 23.08.2020.



Après une année au moins sans ordination sacerdotale, Mgr Marcel UTEMBI a procédé à l'ordination de deux prêtres et six diacres à la paroisse Marie Reine de la paix de Mangobo ce dimanche 23.08.2020.

Plusieurs invités étaient conviés à cette cérémonie en titre exemplatif le gouverneur de Province Me Walle , les sénateurs, maire de la ville et tant d'autres invités de marques.

Devant une foule immense venue de partout, la célébration eucharistique faite par son Exc Mgr Marcel UTEMBI et plusieurs prêtres de l'archidiocèse de Kisangani.
Il a conseillé les chrétiens de Mangobo et Tshopolais de cultiver l'esprit de la paix, les prêtres de servir Dieu et tous de respecter les mesures barrières.
Après la messe, plusieures surprises ont été faites à l'égard des lauréats, les cadeaux parmis lesquelles celles du gouverneurs de province qui a remis au deux prêtres les motos et aux diacres les enveloppes .

Cette ordination marque non seulement l'allegresse de la communauté chrétienne mais aussi celle de plusieurs communautés socio-culturelles. La communauté ADBAN et particulièrement AMBACO qui a été honoré par l'ordination de leur fils Napoleon AGBONDA comme diacre.

Après la célébration eucharistique, plusieurs lieu de fête était au rendez-vous des invités suivant les paroisses et les organisations familiales cependant une réception était organisée à ladite paroisse par l'archidiocèse où toutes les autorités ecclésiastiques et politico-administratives avaient pris part.
Quant au Diacre Napolean, les invités étaient reçus à la grande salle de la paroisse Saint Joseph artisan de la Tshopo ou nous avions marqué la présence des prêtres, les soeurs religieuses, le président d'ADEBAN et AMBACO ainsi que tous les autres invités et séminaristes
Le faciès de tous les fidèles était tressailli de joie et Mangobo avait l'honneur d'accueillir cette cérémonie.

#Redaction

samedi 22 août 2020

Happy birthday to Fanny and Gabriel appelé BBCM


Tous deux réunis par un lien amical et né de jours différents.
Fanny Mayombe et Gabriel Amisi décidèrent de célébrer ensemble leur anniversaire de naissance ce samedi 22.08.2020 au Belveder lieu auquel étaient conviés les invités.

Comme toute autre fête, exceptionnelle et pleine de surprise était faite cette fête aussi inoubliable par les lauréats.

Elle débuta vers 18h00 pour finir vers 21h00, moins de temps avec des événements bien planifiés comme chronométrés.
Présentation de deux lauréats
Remises entre eux de cadeaux
Remise de cadeaux des invités
Notons la présence de deux jeunes docteurs Dr Germain Mukulangando et Dr Toussaint Kilandja.
Repas et tous avaient picolé
Danses 
Clôtures de la cérémonie.

Tout etant de la volonté divine le début comme la fin de ladite fête était sanctionné par la prière.

Plusieurs chant était sous le contrôle de DJ ou Naza avec le titre Happy birthday et Dadju avec Bobo au coeur avaient fait vibrer les invités

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